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Si jeunesse savait !

Un peu partout, dans le monde, la jeunesse se demande ce qu’il va advenir d’elle. Elle désire vivre, avoir une bonne part à la vie, ce qui n’est point étonnant. Nous, parents, lui avons créé un monde de bombes et de forces de destruction. Elle désire une vie utile, sensée, active, créatrice. Nous lui parlons machines et robots. Il n’est pas surprenant qu’elle cherche une voie. Mais laquelle? Qu’elle cherche une certitude. Mais où?
En fait, le christianisme ne devrait-il pas trouver là, parmi cette jeunesse, un terrain fertile de semailles et d’abondantes moissons?
Parlant après ses grandes séries d’évangélisation dans le Royaume-Uni, Billy Graham disait que les jeunes étaient tout à fait accessibles à l’Evangile. Aux Pays-Bas, un groupe de jeunes chrétiens a dressé une tente, y a placé une vingtaine de petites tables, chaque table étant dotée de quatre chaises. Puis, ces jeunes ont parcouru la ville, vendant leur journal et invitant chacun à passer la soirée autour d’une tasse de café! La jeunesse a répondu; elle répond. Elle cherche, elle vient. Des âmes sont sauvées. En bon nombre. Oui, le christianisme apporte un sens à la vie; un but. Il présente une voie, plus que cela, une certitude. Il est un point de départ, car il est une route. Mais quelle route! Plus qu’une route, une allée qui s’ouvre vers le triomphe.
Lisez bien l’affirmation de la Parole: «Rendus aptes à une oeuvre de service et à l’édification du corps de Christ, jusqu’à ce que nous soyons tous parvenus à l’unité de la foi et de la connaissance du Fils de Dieu, à l’ETAT dHOMMES FAITS, à la MESURE de la STATURE PARFAITE du CHRIST».
Si jeunesse savait! Elle ne serait plus désemparée. Elle viendrait à Christ. Car « La piété – en Christ – a les promesses de la vie présente et de la vie à venir».

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