Série: La foi chrétienne et le retour au paganisme
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La foi chrétienne et le retour au paganisme (8)

V. Les effets concrets de ce nouveau paganisme

Avec un phénomène aussi vaste il est impossible de tenter un inventaire général de ses effets sur la société. L’on peut cependant en examiner quelques fruits.

1. Dans les Eglises

Cette spiritualité occulte s’infiltre partout. Cela est particulièrement évident dans les églises. Dans les milieux chrétiens, nous voyons la guérison intérieure, la fascination pour le miraculeux, le mépris de la raison et de la doctrine, l’accent mis sur l’expérience religieuse, l’utilisation de méthodes psychologiques d’inspiration ésotérique, l’obsession croissante pour l’écologie, le remplacement de la proclamation de l’Evangile par une action purement sociale et technique, la recherche à tout prix de l’unité, etc. Ce sont autant de signes de la graduelle paganisation des milieux chrétiens. Sur le plan proprement spirituel, nous devons constater que des hommes comme Wimber, Osborne, Duplessis, Tardif, Jongghi Cho, semblent utiliser des méthodes et des puissances qui ressemblent de façon inquiétante à ce que l’on peut trouver dans la spiritualité du Nouvel Age. Ainsi s’éloigne-t-on, graduellement mais sûrement, de la simplicité de l’Evangile: la foi en Jésus-Christ, Fils de Dieu fait homme, et l’obéissance quotidienne à ces commandements.

2. Le monde de la santé

Nous pouvons constater dans le monde de la santé un intérêt croissant pour tout ce qui concerne les médecines dites parallèles (acuponcture, sophrologie, hypnose, iridiologie, messages psychiques, yoga, etc.). Ces méthodes sont évidemment liées au nouveau paganisme.

Mais il y a plus. Sans la miséricorde de Dieu agissant de manière concrète au-travers de chrétiens vivant leur foi dans leurs circonstances professionnelles, les institutions de la société ne peuvent que se dégrader. La pratique de la médecine n’échappe pas à cette règle. Si l’homme n’est pas créé à l’image du Dieu transcendant et personnel, s’il n’est qu’un élément d’un processus totalement impersonnel, pourquoi faudrait-il alors tant s’inquiéter de la vie de chaque individu? Bien que à l’image de Dieu, il devient moyen, instrument à dépenser en vue du bien être des autres plus dignes de vivre que lui: cobaye scientifique, banque à organes, foetus à avorter pour ne pas gêner ses parents égoïstes, foetus à fabriquer en laboratoire pour satisfaire les couples stériles, vieux à éliminer lorsqu’ils deviennent décidément trop incommodes pour leur progéniture sans coeur, etc. On assiste en fait aujourd’hui à une progressive déshumanisation des soins donnés aux éléments les plus fragiles de notre société. Le bien-être de certains privilégiés a remplacé le bien commun défini par la loi transcendante de Dieu.

(a) Avortement

Cela a commencé avec les enfants non encore nés. Comme les juifs et les tziganes sous les nazis, des êtres humains sont aujourd’hui systématiquement considérés comme des non-personnes et traités comme tels, dès qu’ils entrent dans la catégorie des non-désirés. Au CHUV à Lausanne, par exemple, la première question posée à une mère qui téléphone à la maternité pour annoncer qu’elle attend un bébé et souhaite obtenir un rendez-vous est: Désirez-vous garder l’enfant? comme si l’instinct maternel se résumait au fait de vouloir éliminer sa propre progéniture gênante. Aux Etats-Unis, des dirigeants noirs sont horrifiés de découvrir, dans la proportion démesurée d’enfants noirs avortés, le retour en force, sous une forme sinistre, du racisme. La volonté systématique d’imposer la contraception, l’avortement et la stérilisation au tiers monde est elle aussi perçue comme une nouvelle forme de racisme eugénique.

(b) Enfants mal formés et banques d’organes humains

La deuxième catégorie à tomber sous le couteau de nos médecins eugénistes est celle des enfants conçus avec une malformation. L’on tente systématiquement de culpabiliser les parents qui souhaitent garder leur enfant, qui comprennent que l’amour ne s’adresse pas exclusivement aux seuls bien portants. On commence, aux Etats-Unis, au Canada et ailleurs, à éliminer des enfants nés avec des déformations graves et à les utiliser pour alimenter des banques d’organes(60). On n’arrête pas, en effet, les progrès de la médecine, qui ont créé une demande de plus en plus forte d’organes frais. Un marché a ainsi été créé pour les organes humains, et qui oserait aller à l’encontre des lois sacro-saintes du marché, surtout quand il s’agit de faire du bien? La question se pose: où trouver les organes utilisables en assez grand nombre? Les personnes gravement accidentées, dans le coma par exemple, et qui portent sur eux ce qu’on appelle un testament vivant (qui demande qu’on ne les garde pas inutilement en vie) commencent, surtout aux Etats-Unis, à alimenter ce marché d’organes. L’homme devient ainsi une source d’organes apte à alimenter un marché en pleine expansion. Quel importance si pour ce faire il faut tuer quelques non-personnes pour améliorer la qualité de vie d’un être humain plus prospère ou mieux capable de défendre sa place au soleil?

(c) Elimination des vieux

Une troisième catégorie de personnes subissent aujourd’hui les effets de ce culte du Moi propre à la spiritualité du nouveau paganisme: ce sont les vieux sans défense légale et sans moyens juridiques, qui ont le tort impardonnable de déranger leur progéniture. C’est ici que nous voyons que la concentration sur son Moi – le coeur même de la nouvelle morale – ne conduit guère à une plus grande ouverture à l’égard des autres. Ainsi, aux Etats-Unis par exemple, on commence à laisser des personnes âgées littéralement mourir de faim et de soif. Cela s’appelle dans le jargon médical, de l’euthanasie passive (laisser mourir quelqu’un en lui enlevant les soins qu’on lui donnait, ici l’eau et la nourriture), que l’on considère moins grave que l’euthanasie active (faire mourir quelqu’un en lui administrant un médicament mortel ou en débranchant les appareils qui lui permettent de vivre). Des pays comme le Canada, l’Australie, les Etats-Unis, la Hollande, l’Autriche connaissent un développement effrayant de l’euthanasie, tant active que passive.

(d) Nouveau cannibalisme

Voici ce qui nous paraît une résurgence de plus en plus brutale des rites les plus sanguinaires d’un paganisme d’autant plus dangereux qu’il se présente sous le dehors innocent des blouses blanches du corps médical. L’avortement paraît de plus en plus comme le sacrifice vivant d’un enfant offert par le médecin-sacrificateur à la requête de parents désireux d’apaiser le dieu d’une sexualité – EROS – totalement coupée de sa finalité procréatrice. L’euthanasie dont les personnes âgées font l’objet n’est manifestement rien d’autre que le sacrifice d’êtres humains au dieu CONFORT. Ainsi, à l’amour chrétien de son prochain, de ses enfants, de ses parents, viennent se substituer la pire cruauté, l’indifférence et l’égoïsme sacré du bouddhisme, attitudes imperméables à toute souffrance. La civilisation hindoue n’est pas connue pour ses oeuvres de charité.

Mais il y a pire encore. Ces sacrifices humains sont accompagnés d’un retour au plus pur cannibalisme. Qu’est-ce au juste que le cannibalisme? Ce n’est pas simplement une forme un peu spéciale de gastronomie. En mangeant les organes vitaux de son ennemi ou de la personne sacrifiée rituellement, on croit assimiler sa force vitale, soit personnellement soit pour le bien de la société. Qu’en est-il aujourd’hui? On élimine des êtres humains pour pouvoir en prélever des organes et les implanter à d’autres. On utilise des foetus pour fabriquer des cosmétiques aptes à rajeunir une peau fanée. On emploie des embryons frais (pardon! des bébés frais) pour produire des substances rajeunissantes. On maintient en laboratoire des embryons en vie à des fins scientifiques. On cherche à coupler génétiquement embryons humains et embryons animaux, des rats et des hommes par exemple. Voici où nous conduit la déshumanisation propre au nouveau paganisme.

3. Face à la mort

Nous en venons tout naturellement à un autre domaine où le nouveau paganisme exerce une influence particulièrement néfaste sur notre société, celui de l’attitude face à la mort. Dans notre civilisation néo-païenne, la mort est de plus en plus considérée comme étant une bonne chose. L’utilisation courante d’expressions telles «la mort douce» ou «mourir avec dignité» témoignent de ce changement psychologique et spirituel. Les récits de plus en plus nombreux d’expériences spirites de personnes prétendant avoir passé par la mort clinique et être revenues à la vie, qui ont été popularisés par les livres de Mme Kubler Ross et du Dr Moody, accréditent l’idée que la mort est sans risque, qu’elle ne contient aucun aiguillon, que le monde à venir accueille tout le monde à bras ouverts, sans discrimination aucune, en bref que l’idée d’un enfer dans l’au-delà n’est qu’un conte de nourrice, un dragon en papier inventé par les chrétiens pour donner un crédit trompeur à leur religion exclusive.

Réponse chrétienne

Mais nous savons que si Jésus-Christ a effectivement vaincu la mort et que, si pour les chrétiens, elle ne détient plus ses anciennes terreurs (malgré l’épreuve qu’elle demeure toujours), pour ceux qui n’ont pas la foi, elle s’ouvre sur cette réalité effrayante de l’enfer et des peines éternelles. Car nous savons que l’homme ne vit qu’une fois sur cette terre et qu’après la mort vient le jugement. Toutes ces soi-disantes expériences post-mortem accréditent le mythe d’une vie ultérieure lumineuse pour tous, vie où tous sont acceptés, quels que puissent avoir été leur foi ou leur comportement ici-bas. Nous retrouvons ici l’universalisme religieux d’un Karl Barth, dont nous avons déjà parlé. Les soi-disantes expériences de vies antérieures obtenues sous hypnose ou dans un état de transe accréditent également la légende si courante dans le néo-paganîsme de la réincarnation, de la métempsychose. Aux Etats-Unis, on en est même venu à introduire dans les écoles (après l’éducation sexuelle et les cliniques sexuelles) des cours et des psycho-drames scolaires sur la mort. Tout cela a tendance à banaliser la mort, à la rendre attrayante, désirable. Un tel encouragement à l’instinct de mort qui sommeille dans le coeur de tous les hommes, explique sans aucun doute la croissance prodigieuse de la vague de suicides qui sévit dans tous les pays de l’occident, surtout parmi la jeunesse.

4. L’invasion générale de toutes les disciplines par l’esprit du nouveau paganisme

L’immoralité et la criminalité croissantes de nos sociétés sont étroitement liées au relativisme moral et au subjectivisme. Ce relativisme s’est introduit dans la psychologie et dans la pédagogie, faisant disparaître les absolus moraux. Il est intéressant d’apprendre que les débuts de la psychanalyse étaient étroitement liés à l’occultisme. En effet, Freud reconnaît que les origines de ces méthodes d’analyse avaient comme source des pratiques explicites d’occultisme cabalistique. De même la psychologie de Jung, qui se sépara assez rapidement de Freud, baignait dans l’ésotérisme et les mystiques orientales(61). Cette nouvelle spiritualité se retrouve dans le monde des affaires. Non seulement les pratiques occultes de concentration et d’influence du comportement d’autrui sont monnaie courante dans les nouvelles techniques de vente, mais on cherche de plus en plus à introduire différentes formes de méditation ou de dynamique de groupe à base ésotérique dans les séminaires de formation pour hommes d’affaires. Ce néo-paganisme a envahi des domaines tels que l’économie, la musique (populaire et sophistiquée), l’art, les sciences, la littérature, etc.(62). Les bases de toute notre culture sont en train de basculer vers ce néo-paganisme. Nous nous trouvons de plus en plus entourés d’un monde spirituellement souillé et, comme Daniel à la cour du roi de Babylone, nous devons prendre la précaution élémentaire de nous conformer sérieusement aux commandements de Dieu.

5. La nouvelle religion

Pour finir ce tour d’horizon, regardons un instant un autre domaine où la nouvelle spiritualité joue un rôle capital: celui de la religion ésotérique qui prend partout la place du christianisme. L’astrologie a certainement plus d’influence sur le comportement des masses aujourd’hui dans nos divers pays que la Bible. Les réunions publiques pour la défense de la foi dans nos villes sont quasiment inexistantes. Partout, cependant, on voit afficher des rencontres ésotériques et occultes de tous genres. Voici quelques extraits du programme genevois pour l’hiver 1989 proposé par la revue «Synthésis»:

– L’art de la guérison spirituelle.
– Les sons: une force de guérison.
– La santé par les couleurs.
– Energie et guérison.
– Rééducation du contrôle cérébral.
– Les cristaux pour notre développement personnel.
– Introduction à la thérapie des vies antérieures.
– La guérison des attitudes.
– A la découverte de soi.
– L’amour qui guérit.
– Les harmonisants du Dr Bach.
– Les bijoux métaphysiques.
– Le yoga des yeux.

«Time Life» diffuse en masse en Suisse, et sans doute dans d’autres pays, un procédé dont le but serait d’évaluer les dons médiumniques personnels des lecteurs. Un autre envoi de masse passant récemment par la poste propose un anneau à fixer à l’oreille qui ferait immanquablement perdre tous les kilos qu’on aurait en trop. Ou bien, il est question dans le journal publicitaire «Trente jours» des morts qui se manifesteraient à leurs proches au téléphone ou, encore mieux, visuellement par le poste de télévision. Sans parler de l’ultra-célèbre Lynn Palmer, «la meilleure astrologue et numérologue du monde», nous dit-on, capable de prédire sans faute votre avenir, contre pièces sonnantes bien sûr.

Quelle bigoterie, quelle crédulité superstitieuse, à une époque où tout est de plus en plus rationalisé! Mais derrière tant d’âneries, de faux semblants et de duperies se trouve cependant une réalité des plus inquiétantes. A ce sujet la Bible est claire:

La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive. Ils sont donc inexcusables, puisque, ayant connu Dieu, ils ne l’ont pas glorifié comme Dieu… Se vantant d’être sages, ils sont devenus fous; et ils ont remplacé la gloire du Dieu incorruptible par des images représentant l’homme corruptible, des oiseaux, des quadrupèdes et des reptiles. C’est pourquoi Dieu les a livrés à l’impureté, selon les convoitises de leurs coeurs. Rom 1.18-23

L’invasion de pratiques ésotériques à laquelle nous assistons est manifestement un jugement de Dieu sur des nations qui l’ont connu autrefois et qui s’en sont volontairement détournées. De telles pratiques ne peuvent, à leur tour, qu’entraîner de nouveaux jugements, plus redoutables encore. La Parole de Dieu nous en donne un terrible avertissement:

Lorsque tu seras entré dans le pays que l’Eternel, ton Dieu, te donne, tu n ‘apprendras pas à imiter les pratiques horribles de ces nations-là. Qu’on ne trouve chez toi personne qui fasse passer son fils ou sa fille par le feu, personne qui se livre à la divination, qui tire des présages, qui ait recours à des techniques occultes ou à la sorcellerie, qui jette des sons, personne qui consulte ceux qui évoquent les esprits ou prédisent l’avenir personne qui interroge les morts. En effet, quiconque se livre à ces pratiques est en horreur à l’Eternel, et c’est à cause de ces horreurs que l’Eternel, ton Dieu, va déposséder ces nations devant toi. Tu seras entièrement consacré à l’Eternel, ton Dieu. Car ces nations que tu déposséderas écoutent les tireurs de présages et les devins; mais à toi, l’Eternel ne le permet pas. Deut 18.9-14

Si un homme ou une femme ont en eux le pouvoir d’invoquer les morts ou de prédire l’avenir, ils seront punis de mort; on les lapidera: leur sang retombera sur eux. Lév 20.27

Conclusion

Que devons-nous faire?

Nous nous trouvons à un carrefour. Face à cette iniquité spirituelle sans nom que faut-il donc faire? Que faut-il entreprendre contre cette marée d’iniquité apparemment irrésistible? Ma réponse est simple: nous devons faire ce que l’Eglise fidèle de Dieu a toujours fait. Le Nouveau Testament exhorte l’Eglise de tous les temps en ces termes:

C’est ici la persévérance des saints, qui gardent les commandements de Dieu et la foi en Jésus. Apoc 14.12

La religion pure et sans tache, devant Dieu le Père, consiste à visiter les orphelins et les veuves dans leurs afflictions, et à se garder des souillures du monde. Jac 1.27

Examinez ce qui est agréable au Seigneur; et n ‘ayez rien de commun avec les oeuvres stériles des ténèbres, mais plutôt dénoncez-les. Eph. 5.10-11

Dans un temps comme le nôtre, en dépit de toutes les pressions d’un nouveau monde païen, l’Eglise de Dieu doit d’abord persévérer dans l’essentiel, dans la foi véritable au Fils de Dieu, notre Sauveur et Seigneur Jésus-Christ, et dans l’obéissance à la loi de Dieu. Voilà notre programme. Il faut absolument et de toute urgence restaurer la prédication de tout le conseil de Dieu dans nos Eglises. Il nous faut aussi veiller les uns sur les autres, nous exhortant mutuellement chaque jour à obéir en toutes choses à la Parole de Dieu. L’Eglise locale deviendra alors à nouveau cette ville située sur une colline visible loin àla ronde, cette lampe sur un chandelier éclairant toute la maison, ce sel qui purifie une terre corrompue. C’est par notre amour pour les malheureux, et parmi eux les veuves et les orphelins, les vieux et les enfants non encore nés, que nous manifesterons concrètement notre réponse reconnaissante et obéissante à la miséricorde de Dieu pour nous. Une telle Eglise n’aura pas seulement l’apparence de la piété; elle en possédera véritablement la force. Elle saura proclamer la loi de Dieu à un monde mauvais, dénonçant leurs iniquités aux hommes, mettant le doigt sur les perversions propres au temps et au lieu où Dieu l’a placée. Ainsi seront enfoncées les portes de l’enfer et renversées les citadelles du diable. L’Eglise manifestera à tous qu’aujourd’hui encore la prédication de la croix est véritablement la puissance de Dieu pour tous ceux qui mettent leur confiance en Jésus-Christ. Que le Dieu de toute miséricorde nous vienne en aide.

Notes

(60)Sur toutes ces questions voyez le livre fort bien documenté et hallucinant de: Paul de Parrie & Mary Pride: Unholy Sacrifices of the New Age. Crossway Books, Westchester, 1988
(61) Sur l’aspect psychologique du Nouvel Age voyez: Nat Morris: A Man Possessed. The Case History of Sigmund Freud. Regent House, Los Angeles, 1974
Pierre Debray-Ritzen: La scolastique freudienne. Fayard, Paris, 1972
Jacques Van Rillaer: Les Illusions de la Psychanalyse. Pierre Mardaga Bruxelles, 1988
(62) Pour terminer, l’arrière-plan philosophique de ce renouveau religieux est remarquablement éclairé par les ouvrages suivants: Jean Brun: Philosophie et christianisme. Beffroi/Age d’Homme, Quebec/ Lausanne, 1988
Jean Brun: L’Europe philosophe. 25 siècles de pensée occidentale. Stock, Paris, 1988


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Série : La foi chrétienne et le retour au paganisme
Berthoud Jean-Marc
Jean-Marc Berthoud est le président de l’Association Vaudoise de parents chrétiens. Il est l’auteur de nombreux livres sur la défense de la foi chrétienne face à la montée de la sécularisation et du modernisme.