Je vais à qui j’ai cru
et qui m’a pardonné.
Je me suis débattu,
perdant ce qu’il donnait.
Je crie à son amour
voilà la vérité.

Ma force m’a déçu.
Mes efforts erronnés,
sans avoir combattu,
m’ont tous abandonné.
Je n’ai plus que l’amour
et puis la volonté.

J’espère en qui j’ai cru.
Et sans abandonner,
malgré les coups reçus,
je veux bien me traîner,
appelant son amour,
appelant sa bonté.

Je sais à qui j’ai cru
et à qui j’ai donné
mon esprit abattu,
méprisé, prisonnier.
Je connais son amour
et sa fidélité.

Numéro 56

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